Langage et tétravalence
(proposition d'analyse)

Nulle part dans les Lettres est signalé un quelconque rapport entre tétravalence et le langage.
Mais devons-nous nous fier aux Lettres comme si elles étaient LA réalité ?
Il est certain que Non, car : l'expression "reflet de la réalité" est plus adéquate.
Il n'est de cesse dans les Lettres d'aligner des propositions a premiere vue contradictoire. La moindre analyse permet en Réalité de faire les disctinctions nécessaires pour faire qu'une proposition ummite soit finalement vraie (et meme incroyablement cohérente avec son contexte).
La "réalité ummite" aurait été de les avoir en face et de communiquer avec.
Or, ce n'est pas le cas. Les Euclidiens diront : "il n'y a pas de réalité ummite".
Le langage est donc le seule "Pont" entre eux et nous.
D'une part, il y a le langage terrestre, et d'autre part, le leur, beaucoup plus "concentré".
Il y a également cette sensation qui est perçue lorsqu'on évoque par la pensée les mots ummites. Ils ont le curieux pouvoir de générer un "monde" que nous ignorons, cependant une etrange faculté nous permet d'envisager ce langage comme réel car cohérent, c'est à dire qu'il est loin d'etre une invention improbable (l'oeuvre d'un fou).
Réel comment ?
Les ummites utilisent "Leur" langage, mais ils en ont plusieurs. De plus, rien ne signifie que "leur" langage soit réellement usité, "leur" langage a peut etre été inventé par eux.
Qu'est-ce qui est réel et qu'est-ce qui ne l'est pas ?
Il est ecrit "Pour nous tous ce que nous allons vous dire est vrai".
Je lis, (intransigeant) : "Pour NOUS, ce n'est donc peut etre pas le cas !!"
Y aurait-il différentes "degrès" de lecture des Lettres Ummites ?
(prétendre que Non est risquer de se faire couvrir de ridicule)

Il ne s'agit pas de décrire la philosophie, la politique, l'évolution, ou les activité des Ummites, mais en Réalité de "signifier" "ce que Sont réellement ces "réalités".
C'est assez hardu mais je crois que c'est par ici qu'on trouve la sortie.
Que sont chacune de ces disciplines (philosophie, politique, evolution, et activité*) ? Ce sont des disciplines, c'est à dire des parties, ou facettes d'une seule et meme réalité.
*AJH telle est ma proposition de classement des lettres ;-)
Quelle est cette réalité ?
Elle est impossible à "décrire" autrement qu'en tournant autour, c'est à dire en la "cernant".
Ceci est la CLEF DE VOUTE de la logique tétravalente.
La science, les acts, les pensées, les démarches, les processus, la Logique, Tout : Est la composante d'Une "Surlogique" (qu'on appelerait ainsi seulement le temps de se rendre compte de l'implication globale réelle de la simple Logique).

C'est à dire, qu'à part deux où trois petits mensonges Nécessaires pour la cohérence, ce que disent les Lettres est VRAI, mais pas seulement au niveau primaire auquel nous pourrions le lire.
Il est bien entendu que peut etre considéré comme "désolant", attristant de devoir se détacher de la partie émotionnelle qui impulse l'énergie d'une recherche scientifique.
Mais ce qui se cache derriere est bien plus grandiose.
Il s'agit de la Raison des Choses.
UUWUU IES : (logique tétravalente) = mécanique créant mécanique, (Analyse) cyclique.

***
LANGAGE ET CARACTERISTIQUES
Nous utilisons un langage double (grâce à une répétition séquentielle de nombreux mots, nous
pouvons exprimer deux courants simultanés d’idées). Les mots notés dans ce document sont des
expressions graphiques approximatives de leur phonie réelle.
Depuis longtemps, par conséquent, dans nos relations sociales nous nous exprimons (quoique artificiellement) dans le langage oral. Il est révolu le temps ou les parents devaient communiquer avec leurs enfants au moyen de mouvements de paupières "codifiés".
le langage que nous employons est radicalement différent du vôtre. Nous pouvons le nommer BI-LANGAGE. Par exemple, quand nous émettons des phonèmes tels que OA DO DO IA KAAWAEA UMMO UMMO UMMO, nous exprimons deux courants d’idées simultanément.
OA : nous avons réalisé ce voyage DO : et nous provenons de IA KAAWEA : pour étudier votre culture UMMO : notre planète.
Mais en même temps observez que nous répétons chaque phonème deux, trois, cinq, etc, fois.
Ceci constitue à la fois un nouveau code ou langage qui se superpose à l’autre expression verbale.
L’interprétation de ce langage est de type statisticomathématique (fonction du nombre de répétitions du phonème) avec lequel nous exprimons une autre pensée en même temps. Dans le cas rapporté nous disons approximativement :
Nous avons réalisé ce voyage en provenance d’Oummo pour étudier votre culture, et
Nous pensons ne faire de mal à personne, tranquillisez-vous.
Autre exemple :
DO UMMO DO DO UMMO UMMO DO DO DO
Nous venons d’Oummo, et Nous sommes arrivés au dessus de la France avec notre nef.**
Si nous avions émis ainsi avec notre voix :
DO UMMO DO DO UMMO
Nous venons d’Oummo Nous devons nous alimenter d’urgence.
(Ces phrases exprimeraient donc des séries de chiffres codées : 1.2.1.1.3 - 1.1.2.2.3. - 1.1.2.1. NDT)
==LECTURE
Ce passage montre un aspect non ecore envisagé par nous du langage ummite.
C'est à dire que, là où nous aurions tendance à traduire une chose par un mot, (je me rappelle le 'petit jeu' auquel j'ai répondu effrontément avec "mes regles" (qui, apposées à celles utilisées expliquent la faible correspondance - score = 14%) il nous est proposé un systeme numérique de répétition, que nous ne saisissons pas.
Ce type d'information est propre a faire comprendre le langage ummite comme "plus profondément vrai encore".
Cette proposition, qui doit etre admise comme vraie.
Si on ne croit pas à la réalité ummite, l'apparition di bilanguage est assez profond pour intriguer directement.
En réalité, nous avons en tout 3 phrases completes dans tous les textes, à chaque fois je crois avec leur correspondance de signification "littéral" et "numérique".
Je note également : "nous venons nous alimenter d'urgence" n'est rien d'autre que de l'Humour !
La seule de toutes les boutades ummites !
Maitrisée de telle sorte, si le bilanguage ultiplie par 10 la crédibilité du langage ummite, le simple usage de l'humour la multiplie par 1000 !

**
Il y a une grande difficulté à traduire les expressions de notre langage culturel, car sa constellation de significations est très différente du complexité d’équivalents terrestres.
...
Vous rendez-vous compte que les moyens sur lesquels vous comptez pour transmettre ces schémas mentaux, ces idées, c’est-à-dire LE LIEN DE COMMUNICATION INFORMATIF: LE LANGAGE, est d’une pauvreté effrayante ?
...
VOUS EMPLOYEZ UN LANGAGE STANDARDISÉ. Les mêmes formes orales pour tous, comme si les esprits récepteurs étaient tous identiques.
...
Vous méprisez la psychologie au point de ne pas vous efforcer de créer un langage qui rende plus
facilement accessible la compréhension des idées en les adaptant au niveau intellectuel de chacun.
...
Il est peut-être utopique de penser que ces formes de langage vont venir surgir entre vous, par une simple réunion des dirigeants de l’UNESCO, par exemple. Vous auriez aussi besoin de nombreuses années d’analyse et d’une longue période d’élaboration, suivie de nombreuses autres pour son adaptation.
...
Vous n’avez pas trouvé le moyen de communication, le langage approprié, la technique d’information adéquate permettant aux hommes de se comprendre en parvenant ainsi au rendement maximal du réseau social.

==LECTURE
Ici il est bien question de "prévenir" :
- Comparaison entre langage ummite et langage terrestre par un biais interessant :
Constellation de Significations (LU) =/= Complexité d'équivalents (LT)
- Nombreuses années d'études pour y parvenir
- Notre BESOIN d'adopter un tel langage.

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Vous avez très bien compris que notre seule démarche est la Logique Formelle que nous appelons AADOAUGOO, non pas parce que nous mésestimons la possibilité de l’existence d’autres langages logiques, mais parce que celui ci est le seul qui nous a permis un développement cohérent et une "captation" objective de la Vérité Scientifique dans la mesure où le temps et notre cadre Planétaire a rendu la chose possible.

==LECTURE
AADOAUGOO = Symbiose qui forme le contexte (traduction que je propose pour (AA)symbiose+(D)forme+(O)objet+(AU)possible+(G)organise+(OO)dans son cadre).

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L’enfant terrien ne paraissait pas très étonné du langage de nos frères.

==LECTURE
Petite mais importante, cette proposition est la seule qui affirme que le langage ummite est parlé par les ummites!
MAIS : parlais-ils le Ummite tel que nous le connaissons ?
Ils utilisent leur fausse voix de "opéré de la gorge" pour communiquer ?
Des répétitions de mots n'auraient elles pas mit la puce à l'oreille de l'enfant ?
Comment (meme un enfant de 9 ans) peut-il ne pas etre étonné par des Bégayeurs opérés de la gorge ?
Je veux bien mais il y a des choses bizarres.

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Ainsi quand nous disons que dans le BAAYIODUU, les atomes de Krypton tournent par paires en orbites elliptiques ou quand nous nous référons aux "sauts" électroniques au sein d'un niveau énergétique ou souscouche atomique, nous utilisons un langage symbolique.
==LECTURE
Très intéressant !
C'est à dire que : ce que nous arrivons à peine à voir - déduire (les électrons) est en réalité une "vue de l'esprit" parfaitement Symbolique de la Réalité !!
L'utilisation meme de l'électron tournant autour d'un noyau EST un langage CAR il est Symbolique de la réalité. La seule relation entre la réalité et l'electron en orbite, est de l'ordre de la simple Evocation.

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Si nous utilisons le langage scientifique terrestre, nous travestissons et falsifions la vérité
car, comme nous l'indiquons plus haut, de telles hypothèses terrestres sont viciées à l'origine et si nous avons recours au chemin logique qui consiste à vous expliquer au préalable vos erreurs ou les idées inexactes que vous vous êtes forgées, il faudrait alors une grande quantité de pages dactylographiées.

==LECTURE
Ici le chemin de la logique parcouru par les ummites est un "démontage" de nos concepts, afin d'isoler des "briques" pour ensuite pouvoir les réassembler.
La proposition "SI..." est conditionnelle, mais en réalité, elle est parfaitement valable si on change le sujet "vos erreurs" par "notre science" (se rapportant à la quantité de pages dactylographiées qu'il a fallu EFFECTIVEMENT rédiger).
Le phénomène qui "fait dire ce qui a été dit" est bien plus que dû à la simple circonstance.
Cette proposition est valable sans son sujet. Elle "reflete" la logique de ce qui "fait dire ce qui a été dit".

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UUWUUA IES (LOGIQUE MATHÉMATIQUE TÉTRAVALENTE) selon laquelle toute proposition adoptera indistinctement quatre valeurs :
- OAIOOYAA = (VÉRITÉ)
- OAIOOYEEDOO = (FAUX)
- OAIOOYA AMMIE = (peut se traduire : VRAI HORS DU WAAM)
- AIOOYAU = (intraduisible en langage terrestre).
Evidemment il y a là un obstacle sérieux car nous parlons des langages mathématiques différents. Langages qui par définition (comme nous l'avons noté dans un document antérieur) sont conditionnés par un ensemble de conceptions psychologiques différentes entre vous et nous.
==LECTURE
La "conception psychologique" est d'une grande importance pour la compréhension du langage, les choses, du monde.
En première lecture, il s'agirait d'objets qui n'ont pas la meme forme, ou de vagues habitudes qu'on se dit du mal à imaginer (et meme parfaitement inutile).
En seconde lecture, je lis qu'il est poliment fait abstraction du fait que notre mathématique n'a jamais été conçue pour etre un langage... !

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Les XANMOO d’UMMO absorbent directement les données du problème et sa rédaction de l’exposé (il faut que ce denier soit toujours très bien formulé) en langage standard d’UMMO et fournit les résultats en caractères typographiques ou phonétiquement.

==LECTURE
Le "langage Ummo", pour le moins, est utilisé pour l'interfaçage avec l'ordinateur.
Celui-ci, imagine-je, entreprend toute la constellation de sens qui est conséquente à chacune des propositions.
Un tel ordinateur, à la question "puis-je utiliser un parapluie par temps de soleil ?" répondrait "Oui, en tant que para-soleil".
Il est également fait mention de "langage standard". Qu'est-ce à dire ?Est-ce la version sans les répétitions qui constituent le bilanguage ?

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Mais la transcription de ces idées devient véritablement difficile si vous prenez en
compte le fait que vos schémas mentaux sont conformés d'une autre manière que
les nôtres. Nous ne pouvons utiliser un langage commun intelligible des deux côtés.
En ce moment, en m'efforçant d'utiliser en espagnol des idiotismes verbaux qui
vous soient familiers, je tais le flux d'idées que je pourrais exprimer avec aisance si
les acceptions de vos phonèmes pouvaient interpréter correctement ma pensée.
Vos frères Rilke, Neruda, Garcia Llorca, auraient-ils pu exprimer leur exquise
sensibilité avec le seul instrument verbal d'un vocabulaire extrait de l'index d'un
manuel d'électronique ?
En ce qui nous concerne, il ne s'agit pas de chercher un phonème ou un mot
espagnol dont la signification soit analogue à celle de notre mot correspondant.
Même si ce premier cas était obtenu, et même avec la réalisation d'une analyse
lexicographique de la langue, les expressions complexes intégrées par ces
"paroles" cacheraient des significations insolites pour les habitudes topiques de la
pensée terrestre. Pour cela, les idées qui ont été proposées dans ces rapports à
d'autres frères de différentes nationalités sont nécessairement "géotrophes", c'est à dire avec une saveur prononcée d'orientation culturelle terrestre ; mais ceci est
dû au moyen de communication sociale choisi. Le pouvoir évocatif des phonèmes
qui vous sont familiers bloque toute intention sérieuse de transvasement culturel
exo-géo-gnostique.
L'idée de vous offrir ces conceptions pour qu'elles servent de base doctrinale se
substituant aux piliers de la pensée terrestre actuelle est très éloignée de notre
esprit.

==LECTURE
Voila !
Il est bien question de "Décrire" les choses, et non (isolément) de les démontrer, les expliquer, ou les comparer.

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d77
Notre premier objectif de notre pensée fut d’élaborer des bases dialectiques, une logique qui fût
indépendante du langage, de la langue. Ceci était d’une importance vitale si vous tenez compte du fait que notre forme d’expression est bisynchrovalente et que le codage verbal de la pensée en deux modes d’expression capables d’être phonétiquement simultanées (l’une par mécanisme "linguoguttural" semblable aux langages de la Terre, et l’autre par un code qui implique des répétitions séquentielles de phonèmes ) prédispose à des interprétations erronées, en étant une source de tromperies due à l’ambiguïté des termes utilisés et à la composante émotive lors de leur expression. C’est pour cela que fut choisie notre OIYOYOIDAA (manière d’exprimer des idées par une répétition codée de différents mots dans le contexte d’une conversation normale) pour servir de base à une communication verbale de nos concepts AADOO-AUGOOA (logiques). Ainsi les idées transcendantales sont exprimées en un langage mathématique.

==LECTURE
Bizarre.
L'adoption du langage ummite, cadré dans leur Histoire, fut une Décision soudaine.
Il est donc inutile de chercher des "racines" ou d'éventuelles coincidences entre les mots.
"base dialectique = logique indépendante du Langage" !!!
En résumé, consécutivement, ce qui est dit :
- élaboration historique du langage bisyncrovalent (mots + repetition, = 2 discours smultanés)
- elaboration de la OIYOYOIDAA (manière d’exprimer des idées par une répétition codée de différents mots dans le contexte d’une conversation normale).
Cela prete a confusion.
Ma lecture (s'il y avait eu par exemple un pb de traduction) serait la suivante :
- élaboration historique du langage ummite simple
- constat des confusions, création de la Logique du Langage
- Adoption d'un mode complémentaire de type numérique, permettant par exemple de communiquer des concepts mathématiques.
(c'était peut etre finalement ce dernier, dit stasticomatématique, qui était également appelé "langage standardisé" servant à s'adresser au Xanmo...? Au paragraphe suivant apparait également l'appellation "langage topique")
C'est à dire que, après sa découverte, la Logique du Langage a été appliquée d'une maniere numérique au langage existant préalablement.
Si on en croit ce passage, tout comparaison entre logique tétravalente et langage ummite est impossible, puisque la logique serait consécutive au langage, et que son application serait uniquement la répétitivité de certains mots.
Tout s'écroule ?
NON Car ce texte est ILLOGIQUE !
On ne peut créer un langage bisychrovalent, etre victime de ses confusions, puis créer une logique pour rendre le langage bisyncrovalent ! (c'est pourtant ce qui est écrit).
Pour moi le langage d'UMMO présenté dans les lettres est leur langage fonctionnel et technique, celui qui a été inventé de toutes pièces, soit pour eux-memes, soit à seule fin de tester des pauvres malades comme nous.
Rien ne peut certifier l'une ou l'autre proposition, ce n'est pas utile de le faire, tout ce que nous voulons savoir, c'est la NATURE de ce language.

**
NOTE 4 : Illustrons avec un exemple réel cette modalité de communication verbale de l’information. Pour ce type de langage on n’utilise pas " des vocables ou des mots " : les propositions s’encodent en agglutinant les composants de la phrase (sujet, prédicat et verbe comme vous diriez ) en forme de proposition codée. L’euphonie importe moins que le sens réel de la pensée. Ainsi la proposition "cette planète verdâtre paraît flotter dans l’espace ", serait exprimée dans notre langage topique (DU OI OIYOO) de la manière suivante : AYIIO NOOXOEOOYAA DOEE USGIGIIAM;
Mais si nous désirons exprimer par le truchement du OIYOYOIDAA, il ne faudra que trois symboles codants:
Proposition : cette planète flotte dans l’espace.
Corrections : Verdâtre, paraît, nous croyons que.
Trois chiffres (en système duodécimal) sont utilisés, la proposition requiert sept chiffres et les
corrections cinq et quatre digits respectivement. De cette manière, dans un bavardage "intranscendant" comme "UAEXOOE IANNO IAUAMII IE OEMMI + UAMII XOA AALOA" s’intercalerait l’information précédente : "AEXOOE IANNOO IANNO IAVAMII IE IE IE UAMII XOA AALOA AALOA AALOA", dans laquelle les digits peuvent s’exprimer de deux façons : en répétant certains phonèmes et en modulant ou en accentuant quelques-uns de ces mots de forme caractéristique.
C’est cette dernière modalité qui sert de base pour un troisième type de langage qui, profitant de la codification fondamentale des propositions très élaborées (codage numérique), établit des règles
flexibles dans la communication d’informations beaucoup plus complexes et exactes.
Ainsi quand nous devons dialoguer ou exprimer des idées transcendantes de caractère logique,
mathématique, métaphysique ou physique, nous utilisons une codification particulière de propositions, formulée de telle façon que notre dialectique ne rencontre pas d’obstacles idiomatiques, phonétiques ou affectifs. Le gain important en pouvoir informatif compense la lenteur ou la viscosité (pauvre fluidité) du flux de communication verbale.

==LECTURE
Voici la derniere chance de tester une phrase ummite ! GRR rien ne nous permet de le faire.
Cela dit, soyons positifs : si nous en découvrons assez sur le langage "ummite" (=explicitechnique!), cela voudra dire que nous aurons saisi la tétravalence, pour peu qu'il y ait un lien réel entre eux (ceci restera une supposition encore longtemps, cela dit la lumiere attire les mouches. oui mais nan g dis restons positifs).
Ainsi donc, apparaitrait une lumière que certains, qui lisent ces lignes avec un air dépité car leurs équations sur la tétravalence étaient stériles, et qui ne croient pas une miette en la voie que j'expérimente, pourront peut etre voir une éteincelle.
Vous avez dit Mathématiques ? Oooh, avec un S en plus !!
Bon, soyons clairs : 1 : le language ; 2 la logique ; 3 reconditionnement psychologique ; 4 mathématiques tétravalente.

*
Comment vous exposer nos fondements métaphysiques si nos langages respectifs sont basés sur des principes logiques contradictoires? Le problème ne peut se résoudrepar une simple transcription des significations de phonèmes comme vous pouvez vous en douter.
....
En ce sens, l’orientation de penseurs néopositivistes de la Terre comme Russel est clairvoyante, non pas par le rejet de toute métaphysique mais comme exigence d’une révision du langage. Tant que vos formes de communication informative ne seront pas clarifiées, le processus de recherche de la vérité sera lent et très laborieux.
...
Les " choses ", les objets de mon processus mental ne sont sans doute pas comme je les perçois, ni comme je les traite au moyen d'un mécanisme rationalisateur plus complexe. Les relations causales sont des relations "EN MOI" traitées selon un ordre élaboré par de tels mécanismes. Un végétal est appréhendé par moi avec des caractéristiques qui symbolisent ses attributs réels. Mon impression sensorielle arrivant au niveau de la conscience est sans doute une illusion due à des constantes extérieures. Ainsi la couleur sera l'impression psychologique d'une stimulation de nature électromagnétique et le concept de masse imprimé dans ma conscience est très loin de pouvoir s'identifier avec l'attribut physique réel qui l'engendre.
...
chaque fois que je perçois un tel arôme, puis-je assurer qu'il est un attribut du seul camphre ? Et non pas qu'il puisse s'agir d'une illusion ou une hallucination ?
...
(o-o) quand un physicien de votre planète prétend observer une éprouvette micrométallographique pour constater ses propriétés optiques, il produit une altération dans le processus en utilisant de la lumière pour l'observation. Ceci est un obstacle insurmontable puisque l'observation elle-même
altère la véritable nature de ce qui est observé. Quelque chose de semblable se passe avec l'ÊTRE.
EST-AINSI quand il N'EST PAS PENSÉ ET QUE SON IDÉE N'EXISTE PAS DANS MA CONSCIENCE.
(..flashback...)
Même si je ne savais pas comment "est réellement le WAAM " : celui-ci est-il "ici",
dynamique ou statique, changeant ou rigide, engendrant des idées qui se reflétent dans ma conscience sans que mon MOI soit capable de changer son essence, son être propre?
Notre réponse est NON. ne pouvons jamais accéder à la vérité, à l'essence
du WAAM, non pas parce qu'un tel WAAM n'existe pas ni parce qu'il y a une barrière qui nous en empêche, mais parce qu'EN PENSANT À L'ÊTRE NOUS MODIFIONS SON ESSENCE
Nous OEMII créons le WAAM en pensant à lui, le Cosmos nous apparaît avec une configuration d'IBOZOOUU (voir plus loin le concept physique du WAAM). Sans doute ces IBOZOO-UU existent en tant que reflet spéculatif de QUELQUE CHOSE QUI N'ÉTAIT PAS IBOZOO avant que nous pensions et, comme PENSER C'EST ÊTRE, avant que nous, les OEMII, existions.
II s'agit là d'une espèce de " symbiose" entre la réalité extérieure et nous. La réalité extérieure se plie à notre processus mental, elle est modifiée dés que nous focalisons notre conscience sur elle. Nous élaborons alors un modèle de WAAM binaire composé de facteurs physiques IBOZOO-UU qui est notre création et en même temps cette réalité conforme notre MOI, le crée, le génère.
II n'y a pas seulement le fait que l'image de ce WAAM soit distincte par l'intervention de processus mentaux de configuration différente des nôtres. C'est que l'ÊTRE même, l'ESSENCE même du WAAM sera perturbée. Cette relativité de l'ÊTRE, cette polyvalence de l'ÊTRE, demeure reflétée dans notre logique par ce que nous nommons AAIODI AYUU (gamme ou réseau de forme de l'ÊTRE). Supposons que nous ordonnions symboliquement toutes les possibilités ontologiques (pour cela faites abstraction du principe du tiers exclu aristotélicien) d'un QUELQUE CHOSE transcendant à mon " JE ".
Il s'agit d'un ensemble ou série de possibilités non tautologiques que nous pouvons coder encore plus synthétiquement ainsi:
S1; S2; S3; S4 ; S5..... ; Sn
Nous arrivons à la signification de l'AIOOYA dont la transcription en langage terrestre est impossible. AIOODI est "CE" qui est susceptible d'adopter des possibilités infinies "d'existence" (S1 ; S2, S3; .. . . . . ; Sn). Ainsi, par exemple un IBOAYA OU (quantum énergétique, photon) peut être S1(ÊTRE) ou S2 (NE PAS ÊTRE, dans le cas où il se transforme en masse), mais les deux possibilités sont des déformations d'un AIOOYA provoquées par mon JE (être pensant).

==LECTURE
AIOODI est "ce" qui est "pensé", "courbé". AIOOYA est la "forme" prise par AIOODI pour l'ensemble des perceptions ontologiques du Cosmos. C'est "ce" à quoi "pense" l'ensemble des "JE pensants". Cette "courbure" est provoquée par l'action-meme de "penser".
Pourtant les possibilités sont des déformations d'un AIOOYA : contradiction ? pour le moins semble vraie la proposition : "un AIOOYA provoqué par mon Je", car il y a une infinité de AIOOYA, et un seul AIOODI.
Je risque une comparaison simple : en découvrant une pomme pour la premiere fois, la réalité de la pomme, d'un point de vue Strictement Psychologique est absolument incertaine. A premiere vue l'objet est rond, donc la pomme est ronde. Si l'expérience s'arrete ici, l'observateur décrira une pomme comme une boule, avec un léger doute sur la couleur.
Plus l'inspection avancera, plus un gand nombre de mots de vocabulaire seront nécessaires, plus il sera possible de "cerner" la pomme jusqu'à s'en faire une idée précise.
Quel que soit le degrès d'avancement, aussi crétines que soient les conclusions qu'on tire parfois, est vrai pour nous le peu que nous savons.
Mais finalement, une fois admis un dictionnaire, il sera possible d'affirmer avec certitude ce qu'est la "pomme", en la "cernant" avec des propos qui, eu eux, de fait, contiennent également une information importante à connaitre au sujet de la pomme.
Si par exemple nous ne pouvions utiliser ce mot, comment le dire ? (ceci je crois est un jeu tv qui d'ailleurs a du succès et ce n'est jamais pour rien ce genre de chose)
pomme == fruit (donc comestibe), rondeur informelle, couleur écarlate....
BON : ça ne vas pas etre facile... Mais cela ressemble un peu à nos traductions ummites, non ??
Surtout qu'ensuite il s'agit de considérer Pourquoi nous modifions l'essence du Waam en y pensant!
Quel rapport ?
Le langage EST ce qui décrit la Réalité, c'est donc un miroir qu'il faut bien astiquer, et très très bien positionner///
Notez aussi l'expression "la réponse est Non ! à une question inverse à la proposition, "petit" exemple des apparentes contradictions parfois évoquées.
Je vous le dis, je suis tel Mulder dans X-Files que personne ne peut croire, mais : "tout est psychologique".

*
Nous, OEMII, voyons donc le WAAM et ses facteurs intégrés dans les possibilités S1; S2 ; ......; Sk. Vous, les hommes de la TERRE, vous n'acceptez pour l'instant que les possibilités S1 et S2,.
Mais d'autres hypothétiques êtres pensants capteront des AIODI sous les possibilités différentes des nôtres Sk + 1, Sk + 2 ........ Sn.
Le drame de I'OEMII ou d'un autre EESEEOEMI réside dans le fait que sa recherche de la vérité, sa
recherche de l'AIOODI, sera infructueuse puisque celle-ci se présentera toujours sous les caractéristiques S1 ,S2, S3 . . . . . . . . Sn.

==LECTURE
Att tu rigoles ou koi ? je croyais que AIOODI se refletait en diverses AIOOYA
Ici, il existe différentes AIODI qui sont comme les AIOOYA... ???
Je crois, (personnellement) AIOOYA : Intelligence de cadre / (YA) ensemble actif
et : AIOODI : (AI) intelligence de (OO) cadre / (D) formée (I) d'etres, et donc que :
AIOOYA est "ce" qui est transformé en AIOODI par le fait meme de "penser". "Ce" à quoi l'on pense, est précisément AIOODI,
tandis que AIOOYA, lui, reste imperceptible.
AIODI : intelligence d'objet formée d'etres
(mes traductions sont toutes personnelles)

***
comments:

En réalité, meme si nous devons "un instant" perdre de vue tout rationnalisme pour se fier à une "logique languistique", censée supplanter les mathématiques pour les domaines qui lui sont inaccessibles, cela ne doit pas nous faire reculer.
En effet, "je crois" qu'il existe "une" mathématique tétravalente.
En fait, il pourrait en exister plusieurs.

Le processus est clairement d'acquérir peu à peu des informations nouvelles, et constamment de les considérer "dans leur ensemble" afin de réinjeter un nouvel "axe" de compréhension dans la Compréhension elle-meme.
Au fur et à mesure du Temps, l'accumultaion d'informations devient de plus en plus influent sur "le sens global". A chaque fois qu'une proposition est rendue illogique, elle entraine avec elle tout un pan de la construction. C'est très perturbant. Cet effet est de plus en plus violent au fur et à mesure que l'on avance.

Aussi, on constate un accroissemnt de la capacité à Voir, à comprendre, c'est à dire une augmentation de puissance dans la capacité d'analyse. Et ce uniquement grace au Temps.
Cette augmentation est exponentielle, car la quantité d'éléments "couplés" et "à coupler" est croissante, elle meme de façon exponentielle. (et ainsi de suite en allant vers des considérations d'objets de plus en plus petites).

Dans ce cadre de recherche (celui dans lequel j'aimerais un peu d'aide), on est de plus en plus loin de la considération "ummo", mais de plus en plus pres de la considération "sciences" (o-o)
C'est à dire qu'on peut comprendre par cet événement : Exactement la meme chose que ce qui est décrit par l'émergence du BB par WOA (puis ainsi de suite) : une entité nait (pour nous une Logique de la logique).

Dans cette derniere, est contenu de façon fixée pour toujours une Loi, simple et condensée, issue des Lettres Ummites, qui sont comme "un accoucheur d'idées".

Pour ma part elle est la suivante : 000 (A00, 0A0, 00A) == AAA
soit : Liant (essence, objet, idée) == reel
le signe == (tiré de Flash) signifie "equivaut" dans le sens d'un transfert réel d'information entre l'un et l'autre. Ce transfert minime d'information est exactement "une toute petite chose" qui implique l'existence et la réalité de "toutes les choses".

Pour bien comprendre ce qui sans doute apparait comme étant "une connerie" (comme l'est la premiere perception des Lettres ummites) il faut ni plus ni moins que :
Faire preuve de bonne volonté !!!
c'est à dire, faire des essais.
Il s'agit (pour l'entrainement) de qualifier avec les termes de la théorie, des mots (ainsi cernés dans un concept logique - c'est à dire relationnel-direct -- il existe différents niveaux de logique; celui-ci est primaire, arbitraire et choisi---).

Toute proposition est abordable ainsi. Le présent travail est motivé par l'envie de le faire comprendre.
exemple :
(gourmandise [pensant à l'Envie], gateau [chimie du cuisinier], idée du gateau -[comprendre : l'idée primitive de faire un gateau]) Manger [ce qui relie ces 3 réalités en Une par un biais arbitrairement choisit] == Réalité du gateau [ce qui existe pour que le gateau existe]
A partir du simple mot "Manger", cadré dans 3 axes de la tetravalence, je pourrais déduire par l'esprit qu'il existe : (besoin, aliment, superfu).

Bien que peu probante, cette analyse apporte cependant une information importante : "Superflu".
Je peut re-penser ma démonstation :
(alimentation, pate sucrée cuite au four, superflu) == Gateau (tel que nous l'envisageons).
Ainsi de suite il faut analyser tous les mots d'une proposition.

Peu à peu, se construisent ainsi des CERTITUDES, c'est à dire des liens de la tétravalence que nous considérerons avec le temps de plus en plus solide.
Ainsi se FONDE la logique tétravalente.
Elle ne s'apprend pas, elle se comprend au fur et à mesure.

Très vite, il existe une grande quantités de choses à analyser.
J'appelle Analyse "endogène" la déduction faite à partir du mot "manger", qui ici est le Liant.
N'importe quelle proposition DOIT etre considérée en ces trois ASPECTS simultanéments décrits par la tétravalence.
J'appelle analyse "exogene" la "compréhension" d'une réalité à partir des 3 axes de la tétravalence.
Cela consiste à sélectionner 3 aspects EVENTUELS d'une meme réalité "apparente", puis de "s'imaginer" ce qui pourrait les LIER. Aussitot trouvé ce "Liant" (c'est le plus dur à trouver, comme dirait Sherlock Holmes) apparait par projection "tout le monde" faisant que la proposition initaile est vraie.

Comme il est évident de le constater en tétravalence, Toute proposition est Vraie d'office, du fait meme qu'elle soit proposée.

Alors comment comprendre AIOOYAU ?
Nous avons vu AIOOYA, courbé en AIOODI par notre pensée.
AIOOYA + U (le Liant) est Lui-meme ce qui sert de Liant dans la tétravalence.
Il est décrit comme Hors de tout Waam.
Effectivement il en est ainsi, puisqu'il s'agit d'une proposition arbitraire décidée par la pensée, c'est à dire littéralement d'une "réalité imaginée".
On peut comprendre la réticence à traduire ceci par des simples mots, afin de ne pas induire de mauvaises pistes, en faisant croire par exemple à un nouvel "etre" extérieur à nous-memes. (il y en a deja assez).

d:
IL EXISTE UNE RAISON !

 
     
 

Analyse 2

*necessiterait un avis collectivement favorable
Afin de procéder aux analyses qui nécessitent la définition exacte de certains mots, apparait la nécessité d'étudier préalablement et en profondeur le langage ummite.
Avant meme de commencer, il convient de s'interroger sur la présence de ce langage dans ces textes.
Il existe a premiere vue deux possibilités :

- il s'agit de leur langage, celui qu'ils parlent, qui a été oralement transmit à titre indicatif dans les lettres.
Dans ce cas, s'explique la variation d'orthographe du fait d'un manque d'intéret pour cela au moment de la retranscription (nous savons que finalement ce n'était pas le cas car un grand soin était apporté à la relecture, et probablement ces variations avaient pour effet de faire croire à cette these).
Dans ce cas également, on peut s'intérroger sur l'intéret de "dénoncer" leur identité, en "ennonceant" leur langage, ce qui les démasquerait très vite auprès d'autres civilisations...
(discussions ufologiques)
Enfin, il n'est pas fonctionnel de transmettre un langage a seule fin de curiosité, ou pour nous permettre de communiquer avec eux ; cela est parfaitement inutile.
- il s'agit d'un contenu informatif faisant partie intégrante de "ce que signifient" les lettres ummites.
Les lettres présentées comme une redevance, une logique que nous n'avons pas saisie structure à la fois la rédaction, les sujets abordés, la philosophie, la cosmologie et une vaste compréhension du monde.*
Dans ce cadre, pourquoi ne pas imaginer que "le language ummite" a été créé de toutes pièces, afin de permettre, une fois d'autres certitudes déduites, d'apporter un complément intriguant d'informations.
C'est obscur mais en fait, au final on aura besoin d'obtenir la définition exacte des mots.
Pour ma part, imaginant parfaitement la puissance d'un XANMOO, j'envisage comme hautement probable qu'un langage ait été construit, en fonction de signes existants sur terre.
En effet, comment arguer que les ummites n'utilisent "que" 5 voyelles, c'est à dire 5 vocalises ?
Surtout, sans voix !!
De plus, j'argue que la notion de "jeu" a été suffisamment appuyée dans les lettres pour déposer dans les esprits le principe du "jeu de pistes". Cette supposition n'est pas hasardeuse, elle s'appuie sur le principe selon lequel, dans les lettres, tout à une importance, tout est utilitaire, tout est fonctionnel.*
Ainsi affranchis, n'ayons pas peur de faire des propositions de combinaisons, des astuces, des associations afin de déchiffrer davantage les informations contenues dans ces mots.
Le travail de Jean Pollion a initié le principe selon lequel il y avait "quelque chose à chercher".
Les solutions trouvées sont très proches de la "couleur" de la philosophie ummite, et jusqu'à preuve du contraire, c'est à ce travail intense qui a déjà été effectué que nous devons nous fier.
En effet, certifier "en un tout" une compréhension de la traduction réclame un ample temps d'expérimentation croisées sur les 1300 mots recensés.
Mais avant d'en arriver à 1300 mots et tout un dictionnaire, il est préférable de piocher quelques mots les plus usités, les plus importants, et de travailler avec ceux-ci. L'ensemble doit représenter toutes les lettres.
Ici je me base sur les infos locales.
Ensuite, il faut partir sur une base logique.
De là :

- il existe une logique de la découverte languistique, c'est le travail effectué par JP avec une prime à l'originalité.
- il y a la logique que j'ai déduite de tout le travail effectué avant moi (celle que je crois comprendre et qui est tétravalente)
- sans logique, nous n'avons que notre instinct, le bon sens.
- toute nouvelle logique ou stratégie de recherche est la bienvenue.
Encore une justification :
Quel besoin de s'attaquer à ce lourd chapitre alors que ce travail a déjà été effectué ?
Mon avis personnel est que je ne suis pas satisfait des actuelles traductions, que je trouve trop rigides.
L'effort mental à faire pour englober les fonctionnalités qui définissent un mot, je crois, doit etre moindre.
C'est à dire qu'une personne n'ayant pas connaissance de l'affaire ummo, découvrant cela, verra lui sauter aux yeux combien les gens passionnés sont aveuglés par leur passion. En fait, il devrait etre aveuglé par la limpidité de la démonstration. (axe de recherche)
Donc avant meme de commencer nous avons conscience de la lourdeur du sujet et de la difficulté qu'il y aura à valider une déduction.
Il est très important de toujours distinguer 3 aspects de "ce qui est" (tetravalence). On peut le faire avec notre langue de façon fluide.
- ce qui constitue (réel, symbiose, echange)
- ce que fait (action, equilibre, changement)
- ce qui explique (actif, egalité, modification)
ou mieux :
- nom commun
- participe present
- adjectif, adverbe
En effet, un meme mot peut devenir une cause, un déroulement ou bien une explication, selon le contexte.
Se forcer a trouver les 3 réalités de chaque traduction de phoneme est un bon début.
Ainsi, il sera permis d'adapter la grammaire du mot en se fiant à l'ordre consécutif des symboles.
De plus, cela "assouplit" le sens donné aux Lettres dans les mots (comme on me l'a fait remarquer) de la meme maniere que les mots changent de définition selon signification dans la phrase.
Ici, cependant, ce n'est pas la signification dans le mot qui donne son sens à la lettre (un des trois aspects), mais bien l'ordre consécutif dans lequel elles arrivent, ce qui est moins "relatif" que notre grammaire et donc plus riche d'informations.
Ensuite, encore de la tetravalence-a-dav mais au niveau du sens des voyelles, où s'applique egalement une regle de sens :
on peut voir le role relatif des voyelles :
A= causalité (immateriel)
E= entité essentielle, emotionnelle, logique : conscience (immateriel)
I= entité reelle, materielle, neguentropique : evoluant (materiel)
O= entité définissante : unité, objet (les 2)
U= entité liante (les 2)
ATT: j'appelle "entité" toute réalité discernable du type decrit dans le tableau. Mais O (entité définissante), sera ensuite simplement reduit comme "entité" car on se moque de savoir ce qu'elle définit, pourvu qu'on la nomme.
Ou alors, comme vous préférez, on choisi de dire "définition" pour nommer une chose qui en défini une autre. Mais je prefere m'en tenir a "entité", gardant a l'esprit qu'elle est juste nominative.
je reviens sur "evoluant"(I), bien sur (JP) : evolution = "T", mais "évoluant" n'a rien à voir avec l'évolution si ce n'est qu'il suit son chemin. On dirait aussi "vivant", "neguentropique".
Par "évoluant" il faut entendre un objet quelconque dont les ibozoo uu sont existants comme la lumère défilante d'un panneau d'affichage à ampoules). cet objet (apparemment fixe) "change constamment".
Concernant E : conscience et logique peuvent paraitre eloignées mais : Non.
l'adjonction revele une Dimension ultérieure :
AA= causalité mutuelle => symbiose
EE= entité consciente => consciente d'elle-meme
II= entité evoluante => évoluante dans un réseau social
OO= entité définissante => dans son cadre de définition
UU= entité liante => réseau fonctionnel (système, mécanique)
pour comprendre "dimension ultérieure" (ou superieure) est typiquement dans cet exemple:
un domino est une entité. Symbiosée (démultipliée et l'ensemble fonctionnant harmonieusement), cet "ensemble" forme des images animées (par exemple). Cette animation, imprédictible à la seule vue d'un seul domino, est ce que j'appelle "dimension ultérieure". De meme, symbioser une droite donne une surface, ce qui revient à élever ses parties au carré (²).
Plus intéressant, les combinaisons :
AE, AI, AO, AU
EA, EI, EO, EU
IA, IE, IO, IU
OA, OE, OI, OU
UA, UE, UI, UO
...qui donnent :
causalité : AE causalité emotionnelle, AI causalité evoluante, AO causalité définissante, AU causalité liante
logique : EA logique agissante, EI logique evoluante, EO logique définissante, EU logique liante
evolution : IA evoluant agissant, IE evoluant conscient, IO evoluant définissant, IU evoluant liant
définition : OA entité agissante, OE entité logique, OI entité evoluante, OU entité liante
Lien : UA lien agissant, UE lien logique, UI lien evoluant, UO lien définissant
Exemples :
WOA : crée une entité agissante
OEMII : entité consciente corrélée en réseauUAA (loi) : lien agissant activement
EESEOEMII : entité consciente cycle perception definissant une conscience, corrélée en réseau social
Mais pour bien faire on peut réduire à un mot chaque association probable, en piochant plus judicieusement que je ne lai fait parmi les diverses variantes pour s'approcher du "sens psychique".
en noir def. actuelles (en bleu modif imaginable)
(A) vérité, action, effectivité - réel, action, actif, (cause, provoque)
(AA) équilibre effectif, égalité, symétrie - symbiose, équilibre, égalité
(B) contributions - echange, changement, modification
(D) manifestation, forme - forme, constitue, formation
(E) image mentale, perception, sensation - Perception, conscience, logique
(EE) consciente d'elle-meme
(GOO) organisation équilibrée ou stable des constituants. inclue dans son cadre
(G) organisation
(I) (jamais egal a lui-meme), évoluant, vivant neguentropique, individu
(II) vivant dans un réseau
(L) équivalent, correspondant - met en correspondance
(M) juxtaposition, réunion, association - corrélation, cohérence, reunion
(MM) assemblé, organisé
(N) flux, transfert - etendue, longueur, durée
(NN) dimension, cadre
(O) entité, être, existence, créature, réalité dimensionnelle, atome - Unité, entité définie, définition
(OO) en symétrie, à égalité, en équilibre, en équité, en réciprocité . - Entité définie dans son cadre de realité
(OA) rendre réel
(S) rond, tour, cycle - exister : dans la mesure ou un "cycle" s'est déroulé normalement prouvant le fonctionnalisme (on pourrait dire le S du coeur = battement)
(T) évolution (association ideogramique d'évoluants) II=2 barres, T=2 barres associées
(U) dépendance - element (qui peut s'unir avec un autre objet)
(UU) interdépendance - systeme, mécanique, logique
(UA) obligatoires, nécessaires - Règles, sens, ordre (non deterministe)
(UAA) Loi deterministe
(W) variations, changements, évènements, nouveauté, information - création, invention
(X) fonctionnalité = SS1
(Y) ensemble
(Z) fonctionnel = SS2
ce qui donne :
BUAWE BIAEI : B modifie U element A d'action W crée E conscience B modifie I l'évoluant A cause E conscience I etre vivant (ame)BUUTZ : B modifie UU mecanique T (en) evolution Z fonctionnelle (moteur)
EDUU : E conscience D (de) forme UU mecanique (synapse: capteur)
ENMOO : E perception N longueur M corrélée OO dans son cadre de realité (unité de mesure)
GOODAA : G organisation OO definie dans sa realité D forme AA équilibree (etat de la matière)
IDIA : I evoluant D forme I vivante A réel (animal, forme de vie) je crois IDI: D intercalé ente II l'attenue
XANMOO ISOO AYUBAA : X fonctionnalisme A réel N etendu M assemble OO dans son cadre / I etre vivant S existe OO dans sa realité / A actionne Y ensemble U element B modifie AA equilibre (ordinateur en réseau qui gere l'équlibre social)
OEMII : OE entité consciente M réunie II evoluant en reseau (humain)
OEMMI : OE entité consciente MM organisé I evoluant seul (membre d'une société)
UAMII : UA règle M assemble II etre pensant (nourriture)
UMMOAELEWEE : U element MM organisé O unité / A action E percoit L fait correspondre E perception W crée EE realité (gouvernement)
WOA : W crée O entité A qui agit (Dieu)

...et pour le fun :
XAABIUANNAA : X...(lieu?) symbiotique modifiant individus règles cadre equilibre (enceinte qui constitue la véritable habitation)
USAGIISOO entité liante existante active organisee reseau reel dans son cadre de realité (état "isodynamique" de l'espace cosmique)
IBOZOO UU evoluant modifie entité fonctionnelle dans sa réalité, fonctionnellement (=en rapport avec son environnement) (particule elementaire)
OYAA entité ensemble symbiotique (astre froid) GAA organisé egalité (carré)
OAWOOLEAIDAA rend reel changement dans son cadre, fait correspondre perception reelle environnante de maniere equilibrée (inversion des particules du oowea)
UULUEWAA mécanique qui fait correspondre perception créant egalité (dispositif qui permet de capter des sons et prendre des images)
OUMBOOBUUA entité elementaire rassemblee modifie leur cadre modifie les regles effectives (Biens - services intellectuels)
WAAM crée equilibre cohérent (univers)
BUAWA modifie élément [d'] action crée [une] action
se presente enfin :
- AIOO||YAA = (VÉRITÉ) causalité evoluante considérée dans son cadre, ensemble symbiotique
- AIOO||YEEDOO = (FAUX) causalité evoluante considérée dans son cadre, ensemble réel qui prend forme [elle-meme] dans son cadre (=seulement réel dans son cadre)
- AIOO||YA AMMIE [L] = (peut se traduire : VRAI HORS DU WAAM) causalité evoluante considérée dans son cadre, ensemble actif agissant de facon organisée en etres conscients (idées)
- AIOO||YAU = (intraduisible en langage terrestre). causalité evoluante considérée dans son cadre, ensemble liant (les) elements (causalité liante)
(un petit commentaire sur le "intraduisible" : pour des définitions aussi essentielles, on ne peut que observer la "retention" d'informations sur ce passage transcendant.)
J'aurais préféré lire le dernier mot "hors de son cadre"... snif.
Enfin je signale la joie que c'est de pouvoir se fier au travail deja fait en pour retomber sur ses pattes en cas de coups dur dans la logique ; mais globalement, outre les erreurs que mon inatention aura laissé passer,
j'espere apporter un nouvel axe pour "saisir" le sens profond des mots.
d:

AIO OEMI BIEWIGAE ABUGU