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La synthese qui suit serait le premisse
d'une Analyse, et n'est donc pas digne d'etre diffusée en tant que
Analyse. Pour cela, il faudrait repointer vers les diverses références,
extraire les citations, rallonger ce texte de 300%, et apporter des corrections
dialiectiques.
J'ai donc procédé "de tete", ce qui excuse une éventuelle
mauvaise assimilation, que j'espere on s'empressera de signaler.
Ceci n'est pas le fait d'une commodité. Je pense sincèrement
qu'en associant diverses idées dévoilées dans les Lettres
d'une manière qui, précisément est décrite,
on obtient des facettes nouvelles.
Aussi (je suis bavard) ce texte présente l'etrange intéret
"d'aplatir" la pensée ummite sur des schemas et des concepts
qui nous sont familiers. Je pense que nous avons les briques necessaires
pour l'exprimer avec une certaine justesse. On pourra donc appeler cela
une vulgarisation terrienne.
Cela dit la lecture de ce texte est.. euh... rugueuse, lisez bien le premier
paragraphe avant de poursuivre.
titre : "Une Logique..."
sujets impliqués :
les composantes
les réseaux
la sophistication
le déroulement
God (dieu, allah, woa et autres)
--()--
Il n'est pas si incongru que cela de penser que les choses qui nous entourent
possedent des propriétés qui se répètent dans
une grande variété d'exemples.
Ainsi le carré, l'association émotionnelle qu'on porte au
carré, la propriété mathématique du carré,
et l'influence qu'à le carré sur le monde sont une seule
et meme entité. Elle se reflète dans tout ce qui se rapproche
de près ou de loin à la notion habituellement reconnue par
les humains de ce qui est "carré".
J'appelle la synergie lorsque l'association de deux de ces "entités"
produit une mécanique tellement probable qu'aucun des composants,
dont l'activité individuelle est improbable, n'aurait pu le prévoir.
Une loi mécanique est alors déduite de cette association.
La synergie du carré et du rond ne produira rien.
Le cube, association du carré à un autre carré, risque
de produire des synergies toutes aussi exponentielles s'il impliqué
dans une autre association (mur de briques).
Y a-t il une entité pour chaque chose ? Comment peut-t on definir
ce qu'est Une chose ?
Il y a une identité pour chaque chose, aussi profondément
qu'on puisse les discerner.
Chaque chose est l'excroissance d'une synergie de différentes entités
associées.
L'association et l'organisation interne de cette association sont par
eux-memes une science.
Synergysons deux atomes qui vont mettre en commun leurs electrons. Chaque
atome aimerait avoir 2 electrons de plus. Le réseau est constitué
de deux noeuds, et avec une part egale de participation, produit un résultat
qui se situe au-dela de ce que peut espérer la condition de simple
atome (il se crée une molécule).
A son tour, cette molécule a figé l'information de son réseau,
elle ne peut le modifier. En revanche, la fonction nouvelle exercée
par l'association avec d'autres molécules va englober cette molécule
dans une propriété qui est tout autre que ce qu'elle est,
et pourrait connaitre (une propriété chimique).
A chaque franchissement d'une étape dans la sophistication, la
meilleure synergie sera plus longue à trouver, en raison de l'excroissance
des possibilités invalides en comparaison aux solutions efficaces.
Quelles sont-elles ? On ne le sait pas, il semble seulement probable
qu'une solution est belle est bien recherchée. Il faut s'appuyer
sur la nécessité qui semble avoir conduit l'évolution
jusqu'à présent, autant au regard du déterminisme
de la macrophysique, qu'au regard de l'apparition mystérieuse de
la conscience humaine dans un monde apparemment silencieux. Un événement
aussi etrange ne peut pas laisser indifférent. C'est en réalité
la seule exception à notre Logique...
C'est cette meme conscience qui nous permet d'observer depuis une certaine
distance les différentes étapes de l'evolution sur un meme
plan.
Il ne faut donc pas croire que tout ce qu'on voit n'est qu'une seule et
meme chose, elles sont, en realité, des millions de millions d'associations
harmonieuses, guidées par une mécanique indescriptible qui
semble prendre son sens au fur et à mesure qu'il se realise.
On na sait pas meme discerner si la poussiere que l'on touche, est la
futur ou le passé d'une entité.
Mais alors quelle nécessité à eue l'évolution
de placer, ici, une conscience (encapsulée dans une bulle de temps)
puisque l'hamonie de l'évolution semble semble déjà
réglée comme sur du papier à musique?
Pour répondre nous devons observer la propriété essentielle
de l'humain : sa liberté.
La liberté est une sorte d'association entre d'une part, une vaste
connaissance, et d'autre part, des aspirations émotionnelles.
Il n'est pas incongru de prenser qu'il en était de meme pour la
molécule, portant en ce qu'elle est, la "mémoire"
de sa structure, et parcourant un destin qui la conduit à rencontrer
une autre molécule...
Alors que justifie cette "Liberté" ?
C'est alors que nous découvrons des aspects émotionnels
plus occultes, car nécessairement, face à la Lierté,
se dresse la loi pesante de toutes les associations qui n'ont pas été
fonctionnelles, 99,9999% des possibiltés de l'univers, dont l'activité
intense a décrit comme une Loi universelle : l'Entropie.
Alors se pose une nouvelle question, quelle chance a la Liberté,
face à cette loi qui occulte l'essentiel de l'univers, et qui injustifie
son existence meme ?
Il est question (dans les Lettres) d'un principe démultiplicateur,
fonctionnant sur le principe d'une résonnance, dont la seule explication
est que la résonnance s'effectue un point c'est tout (sinon le
mot resonnance n'existerait pas, en fait).
Il apparaitrait que les Lois de l'exponentielle, attribuée au principe
de la Synergie, constituent un rampart extremement puissant face au déterminisme
contradictoire.
Il apparaitrait que le combat serait égal, et que le simple fait
de parler à une plante suffirait à renverser bien des maux.
Il apparait aussi qu'une Loi Morale, impossible à expliciter avec
certitude, semble etre en commun à ce qui se révele etre
une bonne action de l'humain, un bon usage de sa Liberté, une Neguentropie.
Il apparait que les Lois Morales sont absolument facultatives, et qu'il
en reviendrait à l'Homme de décider s'il doit les conduire
ou non.
Au fur et à mesure que la connaissance grandit, le pouvoir de la
liberté grandit, leurs effets s'amplifient, mais aussi la complexité
des Lois morales, ce qui rend la conduite d'autant plus minutieuse.
Depuis le commencement, semble inscrit au sein meme d'une simple association
entre deux atomes, les tables de la conduite d'une société
idéale. Mais on se doute bien que si, seuls existent dans l'univers
des particules associantes, elles ne suffisent en rien pour contenir la
nécessité quelles peuvent avoir de vouloir s'associer. Les
règles, les conduites, ou les propriétés doivent
etre inscrites dans une "mémoire" avant meme que de telles
associations ne soient possibles.
Il est donc utile d'imaginer supbrepticement, en plus de l'existence
d'une source génératrice d'une infinité de train
d'ondes expliquant cet agglutinement de matiere, une "diction",
une "entité" contenant une mémoire, et aussi une
volonté de générer l'existence.
Dommage pour ce que dirons les cols montés et autres personnes
qui auront été psychologiquement déstabilisés
par une telle annonce, il s'avère nécessaire d'accepter
ce point de départ pour ensuite fonder la science de "ce qui
est".
On leur rappellera en vue de les convaincre, (je bacle la demonstration)
que pour Euclide deux portions d'une seule est meme chose, si elle n'est
pas une chose en elle-meme, est égale à un ensemble vide,
ce qui ne nous menera jamais à rien.
Mais on pardonnera que pendant des années, les scientifiques se
soient acharnés à découper des Aimants afin de voir
s'ils continuaient à posséder un + et un -.
La science de "ce qui est" n'est pas la science de "ce
qu'on voit".
Bien au-dela de cette formulation, d'autres notions que nous avions paisiblement
ancrées se dé-soudent pour se recombiner d'une manière
originale.
Il s'agit meme, textuellement, de dissocier la masse et le volume, l'espace
et le temps, pour les réassocier différemment. La masse
est le fruit de vecteurs de force. Le volume, lui, est la projection mentale
de ces forces ressenties par nos organes propriorecepteurs qui sont des
Leures. Nous devons les considérer comme des Leures si on compare
le peu de richesse informative des forces que nous ressentons, avec l'immense
sensation émotionnelle que nous leur attribuons.
L'espace, est infini ou nul si aucun objet n'y est projetté mentalement.
Le temps, c'est cette source qui vient s'engouffrer dans les événements
pour les réaliser. Elle ne disparait pas dans le passé,
elle disparait dans l'objet.
Là encore, on apercevra les effet préalables à ce
qui est nomme un "saut quantique", c'est à dire le passage
vers un niveau de complexité supérieure.
En effet, lorsqu'un réseau s'est accru, c'est en raison du positionnement
subitement harmonieux de ses composants. Aussitot, plus grand chose ne
saurait rompre l'harmonie engendrée par une synergie.
Préalablement à cela, en partant du précédent
niveau de sophistication, il ne s'est pas agit de tout démonter
et tout remonter. Il s'agissait uniquement de palper, de déduire,
de recombiner, et de se diriger vers une solution équilibrée,
selon le meme schéma et le meme plan que celui qui dessine le destin
de cet objet, et avec une intelligence qui semble prendre son sens une
fois seulement le 'saut quantique' effectué.
Oui, il a fallu détruire pour reconstruire, mais cette destruction,
si elle n'est finalement pas gratuite, semble toutefois faire usage de
la Loi de l'empirisme. De quelle manière cela est-il possible ?
Les deux ennemis se sauraient associés ? Ou l'un d'eux est-il manipulé
?
Stygmatisons (la notion de bien et mal est critiquable) : le mal, c'est
l'empirisme, le bien, c'est le grand Dessein du monde. Le mal manipule
le bien en lui faisant croire qu'une destruction est essentielle à
une reconstruction. Aussitot satisfait, la destruction engendre encore
plus de destruction. Elle a une chance de devenir Anihilation, c'est pourquoi
le mal tante sa chance.
Inversement, le bien fait croire au mal qu'il y a une faille dans sa protection
contre le Mal. Une manipulation est induite pour obtenir cet effet. Il
se produit au sein meme d'une structure, un détachement. Aussitot,
comme de l'eau dans une breche, le mal s'y engouffre et produit la rupture
désirée.
Peut etre est-il concevable que, incapables de communiquer (ça
explique une telle baston, non ?), seulement capables de se déduire
l'un-l'autre, la "mal" et le "bien" opèrent
sans le savoir une meme stratégie, mais avec des buts apparemment
opposés.
Je peux m'étendre sur ces buts. Ils ne sont pas "opposés"
si on pense que Néant et Harmonie on en commun une stabilité,
un équilibre, une justice equivalente. Les memes buts sont donc
différements menés.
Aucun doute que cette activité stupide ne connaitra jamais de
Fin, si aucune des partie n'a conscience qu'elle a le meme but que l'autre.
Mais au passage nous venons de découvrir la notion de "cause
mutuelle", un indice qui pourra nous faire avancer, un concept qui
pourra etre repéré et distingué dans les composants
de ce qu'on analyse. La cause mutuelle est ntriguante, elle change la
notion que nous avons du "temps".
Dans les lettres, le déterminisme, le destin, le futur sont sans
cesse remodelés, retracés à chaque seconde. Il nous
est présenté une mécanique céleste de "court-circuit"
de l'information, dont les deux conséquences sont l'amplification
de l'harmonie, et la possibilité de remodeler le "present"
(pour nous) de deux manières : en modifiant les conditions, et
en construisant notre personnalité (sur la longueur de notre vie).
La présence de WOA déséquilibre tout la céleste
mécanique. Elle n'est plus "symétrique" mais tendancieuse.
Le combat ne sera pas éternel, un jugement sera effectué,
et sitot la matiere se figera. Un observateur externe guide les pas de
l'évolution. (etc, vous connaissez les paroles de la chanson).
Son existence est en parfaite opposition notre réalité,
et l'explique totalement.
Nul doute qu'avant d'arriver à de telles conclusions, on aurait
pu partir sur de très nombreuses pistes, évitant scrupuleusement
celles que nous connaissions déja... Nul doute aussi que le "ressenti"
de ce genre d'annonce possede un facteur emotionnel que nous ne pouvons
plus nier dans nos calculs.
Non Euclide, l'ensemble n'est pas "vide". Regarde, il est simplement
revenu à son stade initial ! Comment oserais-tu dire que, lorsqu'on
atteint le zéro degrès Kelvin, il n'y ait plus meme de température
?
d:
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