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HISTOIRE DE LA
LOGIQUE
voici un surf :
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<http://www.crea.polytechnique.fr/present.htm>
Le concept de forme joue un rôle médiateur essentiel entre
l'objectivité physique et la manifestation phénoménologique.
D'où la pertinence de reprendre à la fois scientifiquement
et philosophiquement les théories de la forme. Il y a là
un pont essentiel entre les sciences cognitives et les théories,
de plus en plus nombreuses et de plus en plus sophistiquées,
qui étudient l'émergence de formes (Thom, Prigogine, etc.)
et de patterns (Mumford, Coullet, etc.) dans les substrats matériels.
* --> j'suis allé voir la theorie des
paterns =
<http://www.dam.brown.edu/people/mumford/>
Pattern Theory started in the 70’s with the ideas of Ulf Grenander
and his school at Brown. The aim is to analyze from a statistical point
of view the patterns in all ‘signals' generated by the world,
whether they be images, sounds, written text, DNA or protein strings,
spike trains in neurons, time series of prices or weather, etc. Pattern
theory proposes that the types of patterns - and the hidden variables
needed to describe these patterns - found in one class of signals will
often be found in the others and that their characteristic variability
will be similar. The underlying idea is to find classes of stochastic
models which can capture all the patterns that we see in nature, so
that random samples from these models have the same ‘look and
feel' as the samples from the world itself. Then the detection of patterns
in noisy and ambiguous samples can be achieved by the use of Bayes's
rule, a method that can be described as ‘analysis by synthesis'.
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<http://www.crea.polytechnique.fr/present.htm>
2.3. La cosmologie relativiste comme clé pour l'épistémologie
contemporaine. Dans les théories physiques comme la relativité
générale il existe un niveau conceptuel irréductible
aux formalismes et aux procédures expérimentales, et dont
les termes théoriques, ainsi que les propositions dans lesquelles
ils figurent, sont porteurs de significations cognitives. Une des conséquences
en est la multiplicité interprétative associée
aux termes non observationnels des théories physiques comme les
concepts d'espace-temps ou d'univers. Etudes des modèles relativistes
dynamiques d'Einstein, De Sitter (le véritable initiateur de
la cosmologie relativiste), Lemaître, Friedmann, Eddington, Weyl
(le "principe de Weyl" permettant d'introduire en cosmologie
un temps cosmologique naturel malgré l'impossibilité de
définir une simultanéité à distance), Gödel
(solutions des équations d'Einstein avec lignes de temps fermées).
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<http://www.philagora.net/epistemo/epistemo.htm>
Alors que Aristote affirme "Le lourd et le léger sont par
nature et par essence définis l'un par le bas, l'autre par le
haut (= qualité)" - physique VIII, 4, 28
Galilée affirmera que "L'accroissement de la vitesse augmente
avec l'extension du temps."
L'épistémologie c'est la réflexion (le retour sur)
critique (qui s'efforce d'utiliser la raison pour séparer le
cohérent et l'incohérent) sur la science.
Hibou: "epistémology" correspond au français
"gnoséologie" comme théorie de la connaissance
en général.
Epistemology:... Which investigates the origin, structures, methods
and validity of knowledge (Runes, Dict of philosophy). C'est bien un
monde de sens que fait jaillir une langue.
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<http://www.heraclitea.com/mathema1.htm>
Du point de vue de l'interrogation sur les fondements de cette science
on distingue 4 écoles :
1 l'école empiriste qui voit dans le nombre et les figures le
produit d'une inférence réalisée à partir
de l'observation de la nature.
2 l'école idéaliste qui voit dans les objets mathématiques
des entités existant indépendemment de l'esprit humain
ou au contraire purement constituées par lui.
3 l'école intuitionniste qui affirme que les progrès en
mathématiques se réalisent en dehors du cadre de la science
logique. (Kant)
4 l'école logiciste qui affirme que les mathématiques
sont fondées sur la logique c'est à dire peuvent être
ramenées à un certains nombre d'expressions logiques minimum
et dérivées à partir d'elles. (Bertrand Russell)
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<http://www.heraclitea.com/physique1.htm>
d-La théorie anarchiste de la connaissance : Dernière
grande forme d'épistémologie de la physique, la théorie
anarchiste développée par Paul Feyerabend, se veut résolument
hostile à l'idée de méthode. Faisant preuve de
beaucoup de rigueur dans sa démonstration, Feyerabend met en
évidence le fait que bon nombre d'avancées dans les sciences
ont été opérées à partir d'hypothèses
" ad hoc " c'est à dire d'hypothèses arbitraires,
non fondées rationnellement ni même méthodologiquement
et contredites par les observations les plus sures réalisées
à l'époque. Ce ne serait donc pas l'application de la
méthode scientifique telle qu'elle a pu être codifiée
par Mill, Claude Bernard ou Popper qui serait à l'origine des
grandes avancées scientifiques, mais le hasard, le chaos "
relatif " et la capacité des hommes de science à
sortir de la route toute tracée par la méthode.
Feyerabend peut conclure son ouvrage par une proposition qui est plus
qu'un slogan et annonce tout un programme et une conception des choses.
En matière de progrès scientifique, il n'y a aucune idée,
aussi saugrenue soit-elle qui puisse-t-être écartée
:"tout est bon ".
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SCIENCE
***histoire de la logique, l'ordre des titres
est chronologique)*****
<http://www.heraclitea.com/epistemo1.htm>
1la logique comprise comme science des différentes
formes de la pensée
1.2 Les différents types de logique
1.2.1 La logique dialectique ou méthode de division et rassemblement
1.2.2 La logique classique ou logique syllogistique
1.2.3 La logique transcendantale ou logique kantienne
1.2.4 La logique dialectique ou logique des contraires
La logique comprise comme système des diverses formes de la pensée
n'est pas moins riche du point de vue de ses applications que la réflexion
métaphysique : elle peut être aussi bien dynamique que
statique, objective que subjective et la diversité des logiques
qui ont été construites est là pour le prouver.
2 la mathématique comprise comme science
des nombres (arithmétique) et des figures (géométrie)
2.2.Les diverse formes d'épistémologie des mathématiques
2.2.1 Le réalisme mathématique
2.2.2 l'épistémologie empiriste
2.2.3 L'intuitionnisme mathématique
2.2.4 Le logicisme
2.2.5 le conventionalisme
Même si elle est aride cette discipline permet de pénétrer
en profondeur la pensée des grands philosophes et il est clair
que si l'on ne connaît pas par exemple la doctrine des mathématiques
développée par Platon, par Kant ou Par Mill, on ne peut
prétendre posséder une connaissance authentique de ces
auteurs.
3 la physique comprise comme science de la nature
et de ses lois
3-2- Les différentes formes d 'épistémologie de
la physique
3-2-1 L'hylémorphisme
3-2-2 Le Matérialisme
3-2-3 Le Mécanisme
3-2-4 Le Mécanisme matérialiste
3-2-5 L'inductivisme et l'empirisme
3-2-6 L'idéalisme déductif
3-2-7 Le positivisme
3-2-8 L'empirisme logique
3-2-9 Les nouvelles épistémologies de la physique
a-le faillibilisme
b-La philosophie des paradigmes
c-L'épistémologie dialectique
d-La théorie anarchiste de la connaissance
4 la biologie ou science du vivant
4-2 Différentes conceptions de la vie
4-2-1 Le finalisme
4-2-2 Le Mécanisme
4-2-3 L'Evolutionnisme et le Transformisme
4-2-4 Le Vitalisme
4-2-5 Le Réductionnisme
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<http://www.heraclitea.com/rus_epi.htm>
Le réalisme de Bertrand Russell
1 Toute définition de la vérité
suppose l'adéquation ou l'inadéquation du jugement à
la chose jugée. Ainsi si je dis " le temps est beau "
cela n'est vrai que si le temps est beau.
2 Or les propositions de mathématiques
sont également douées de vérité ou de fausseté.
Pour qu'une proposition de mathématique puisse être vraie
ou fausse il faut donc bien que quelque chose lui corresponde (sinon
la définition de la vérité comme correspondance
ou adéquation ne serait pas respectée).
3 Il existe donc nécessairement
des entités mathématiques réelles (celles des nombres)
qui permettent de garantir la vérité d'un jugement porté
dans le domaine des mathématiques. Le mathématicien évolue
dans le ciel de ces entités (comparable au monde intelligible
dont parle Platon dans La République livre 7) et réalise
ses découvertes au sein de cet univers.
Dans le cadre de sa conception épistémologique
Kant développe plusieurs points :
1 L'espace et le temps ne sont pas fondés
sur des données empiriques extérieures mais sont au contraire
des formes a priori de notre sensibilité c'est-a-dire des structures
inhérentes à notre manière de percevoir (ce qui
explique que l'on ne peut percevoir les objets en dehors de l'espace
ni du temps).
2 Les catégories que nous utilisons
pour appréhender la réalité extérieure (telles
que les notions de substance, de causalité, d'action réciproque)
ne sont pas non plus fondées sur l'expérience (opposition
à Hume) car sinon nos théories de physique n'auraient
pas le degré d'universalité et de nécessité
qu'elles possèdent.
3 C'est pourquoi les catégories
de la quantité (singulier, particulier, universel) de la qualité
(affirmation, négation, limitation) de la relation (substance,
causalité, action réciproque) et de la modalité
(existence / non existence, possibilité / impossibilité,
nécessité / contingence) sont dites " a priori "
c'est-à-dire universelles (elles sont partagées par tous),
nécessaires (elles ne peuvent pas être autres qu'elles
sont) et indépendantes de l'expérience (leur fondement
est transcendantal est non empirique).
4 Ces catégories forment la structure
de notre entendement et sont au fondement des théories de physique
dont elles assurent seules la possibilité mais aussi la nécessité.
On retrouve par exemple la catégorie d'action réciproque
dans le troisième principe de la physique de Newton qui affirme
que tout action provoque une réaction d'intensité égale
et de sens opposé.
5 Les catégories de l'entendement
précédemment citées constituent en tant qu'elles
sont alliées aux formes a priori de l'espace et du temps le fondement
de toute connaissance objective. Elles forment les limites du domaine
de l'expérience possible dans lequel tout objet doit s'inscrire
s'il veut posséder un caractère de concrétude véritable
(c'est pourquoi par exemple l'idée de dieu ne peut être
concrète dans la mesure où elle définit un être
existant en dehors de l'espace et du temps, non soumis à la causalité).
6 Les concepts qui s'inscrivent dans le
champ de l'expérience possible peuvent avoir un statut scientifique,
ceux qui s'inscrivent en dehors de ce champ ne sont que des idées
ou des illusions métaphysiques de la raison : c'est le cas par
exemple des idées d'âme, de monde et de dieu.
Nb : La philosophie de Kant qui a eu une
influence considérable sur tous les penseurs postérieurs
a été remise en cause par l'avènement des nouvelles
conceptions de l'espace et du temps dans la physique de la relativité
et par la physique des quanta qui repose sur des bases logiques que
Kant auraient refusées. Il n'en demeure pas moins que sa conception
épistémique constitue un modèle du genre.
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Notes personnelles
J'ai souligné La théorie anarchiste
de la connaissance car je crois que regarder les choses depuis un axe
exotique est très enrichissant.
Lire les lettres suffit a désigner cet "axe". Comme
souligné dans l'exemple de comparaison anglais/francais du meme
mot, un langue projette tout un monde de sens.
Je me suis longtemps demandé pourquoi avoir dessiné tout
un dictionnaire, puisque la communication semble fluide.
Le monde projetté par ce langage est à décrire
avec nos mots. Le langage est la clé, sans pour autant considérer
qu'il n'existe une realité differente par Langage.
l'Axe : si, dans mon langage, nous admettons une theorie, tout le langage
tiendra desormais compte de cette theorie. Si je dérive de l'axe
de la théorie, tout le langage prend une autre tournure, et pour
etre comprise, la nouvelle théorie doit se retrouver dans le
langage.
Exemple pour une idée simple difficile a décrire :
Dans mon langage, je dis : la pierre tombe. Aristote est d'accord car
pour lui "Le lourd et le léger sont par nature et par essence
définis l'un par le bas, l'autre par le haut" - physique
VIII, 4, 28.
Mais pour Gallilée les memes mots signifient : "L'accroissement
de la vitesse augmente avec l'extension du temps."
Imaginez alors si Aristote demande : "crois-tu que l'arbre s'enracine
car il est attiré par le haut?", Gallilée répondra:
"l'acroissement de l'arbre augmente avec le temps". Dans ce
cas de figure, le langage est invalide à cause d'une mauvaise
symbiose.
Lorsqu'on parcours grace aux titres ci-dessus toute
l'histoire de la science, l'Axe apporté par la science et la
philosophie ummite donnent envie de rajouter un chapitre unique à
chacune de ces 4 disciplines, un chapitre nommé "Tétravalence".
elle répond (semble pouvoir repondre) aux 4 grands corps de la
science (etrange qu'il y en ait 4, non ?) :
- la science de la forme de la pensée
- la science des mathématiques
- la science de la physique
- la science de la biologie
Toutes nos visions sont biaisées par la philosophie ummite on
admettra plus d'entendre, par exemple : "vitesse de la lumière"
mais plutot "vitesse limite", sachant qu'elle dépent
de notre univers, mais qu'elle peut varier dans d'autres cadres. désormais
ce mot prendra une nouvelle "transcendance", et là
encore (Analyse 6), la théorie modifie ce qui est théorisé...
par essence.
d:
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